J-1 : la course aux vitrophanies

Sur le parking de l’hôtel de ville à Cannes, tôt ce matin, chorégraphie d’un étrange ballet de taxis. Ils arrivent à tour de rôle et s’immobilisent en douceur. Personne n’en descend. Personne ne monte non plus. Un ou deux photographes attendent, discrets et patients.

Soudain, les poseurs de vitrophanies s’avancent : professionnels minutieux, ils traquent sans relâche plis et bulles. Pour incarner la réalité, l’illusion doit être parfaite (à vérifier peut-être !).
Un peu plus tard, la voiture repart en souplesse. A son bord a pris place une star…